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Il y a un garçon dans les toilettes des filles Un jour, un nouveau arrive à lécole. Il s'appelle Jeff et vient s'asseoir à côté de Bradley. - Donne-moi un Dollar ou je te crache dessus." Car Bradley déteste tout le monde, tout le monde déteste Bradley et il trouve que c'est bien comme ça. Il ment à propos de n'importe quoi, même quand personne ne peut le croire. Et ce ne sont pas les gentillesses d'un type comme Jeff qui pourraient chambouler sa façon de voir les choses. Un autre jour, une nouvelle arrive à l'école. Elle s'appelle Carla, c'est la conseillière d'éducation. Elle est jolie, enthoutiaste, ses chemises sont décorées de motifs bizarres, mais moins bizarres pourtant ce qu'elle raconte. Elle prétend que les accidents n'existent pas, et qu'elle croit à tout les mensonges. Elle est impatiente de rencontrer Bradley. Il va falloir que Bradley la déteste vraiment très fort s'il ne veut pas retrouver sa vie complètement révolutionnée. Mais, au fait, pourquoi Bradley refuserait-il de changer? Illustration de couverture : Anaïs Vaugelade.

Dévastée par la mort de son poney Mystic, Isa décide d'arrêter l'équitation qui était pourtant sa grand passion. Mais Tom Avery, instructeur bénévole du club de Pointe Chevalier, la convainc de s'occuper de Flamme, un cheval qui a été maltraité. Tandis qu'une amitié naît entre eux, Lisa et ses amies mènent l'enquête sur les mystères du club. C'est alors que Mystic apparaît en songe à Lisa...

" Hardi! criai-je, cognez ferme! la porte va tomber, cette fois! " Alors d'un élan vigoureux, s'animant par leurs cris, nos hommes coururent sur la porte qui céda, la serrure arrachée, les barres brisées, les gants tordus. Comme elle tenait encore quelque peu, le faure acheva de la faire tomber avec son lourd marteau. "En avant!" Et, empoignant la hache d'un homme, je m'élançai dans l'escalier, suivi de tous ceux qui étaient là, quelques-uns avec des lanternes, enjambant les degrès quatre à quatre. Je fus bientôt ou palier du premier étage, où étaient le comte et ses filles, ainsi que Mascret, tous à demi vêtus et se dépêchant de recharger leurs armes. "Ah ! brigand ! " m'écriai-je en me précipitant sur le comte, la hache levée. Volume double texte integral

A midi, je compris que l'affaire me concernait. Le père Massot me regarda. - Il a bon biais, dit-il. Ma mère m'expliqua. - Tu as besoin de la campagne. Ca te fera revenir la santé. Ici tu ne mange guère, et puis, il fait trop chaud et trop froid. Mme Massot te soignera bien. Et si tu languis, on te retournera. Le père Massot te ménera avec lui tous les samedis. Ce que me dit mon père était un peu différent, et je ne compris pas bien, sauf qu'il était très ému, et, au fond de lui, tout éclairé d'une sorte de bonheur inquiet et tremblant comme un feu qui ne demande plus qu'un souffle d'air pour flamber. Il me parla des moutons et de la campagne, de l'herbe et des arbres. - Des chènes, dit-il. Je me souviens, en disant ça il avait gonflé sa poitrine, et sa barbe s'était mise à flotter doucement.